Traduction de l’arabe par : Noureddine Mhakkak
Je vais dire sur Qais,
Sur l’amour qui habite dans l'incendie,
Sur un poète qui m’a repêché dans son amour.
Sur le nom, la couleur et l'odeur.
Sur la fin et le commencement,
J'étais comme la brume qui mûrit dans ses mains.
Il m’a guidé vers lui,
J’ai acquitté les personnes,
Lorsqu’il me plaignait à eux.
En groupant de moi, ils chantaient ses chansons
Alors, je ne pouvais pas savoir :
Est-ce qu’il m’allumait ou est qu’il m’éteignait … ?
Je vais dire sur Qais,
Sur la perte d’un paradis qui était perdu devant mes yeux.
Sur l'air qui a aidé les oiseaux, et nous a choisis,
En se moquant de nous,
Sur son envie envers moi et ma perte en lui
En célébrant cette union,
Sur l’amour qui enthousiaste le Hedjaz
E qui le Golfe tombe amoureux entre ses deux rives.
Je vais dire sur Qais,
sur sa platitude,
Sur la nuit qui suit ses lentes traces
Sur l'eau lorsqu parle au poème,
Le cri a pleuré pour moi,
Et m’a préparé pour le départ.
En questionnant le monstre sur moi,
Comme s’il ne voyait sur les convoies
Que des chevaux égarés.
Je vais dire sur Qais,
Sur l’amoureux qui était nié par la tribu.
Sur son sang qui était en danger,
Sur l'épée lorsqu’il a emporté de son cœur,
En partirant avec moi pour vaincre toutes les armes,
Sur l’amour , la passion, le soupir éveillé ,
Sur Les chevaux qui hennissent dans les nuits
Entour de moi,
Et la chaleur qui me baignait jusqu’au matin.
Ô Qais, ô Qais !
C’est toi qui m’as poussé vers la folie,
Ou c’est moi qui est devenu fou !
Nous sommes ensemble un sang éveillé
Dans le reste du poème.